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Parthénogenèse into the wild

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Salut à tous,

National géographique viens de publier un article traitant de la première découverte de reproduction parthénogénétique de vertébrés dans la nature ( http://news.nationalgeographic.com/news/2012/09/120914-virgin-birth-parthenogenesis-snakes-science-biology-letters/?source=hp_dl1_news_snakes20120917 )

Il s'agit en fait de deux Agkistrodon (A.contortrix et A.piscivorus) qui sont assez répendus en captivité pour des venimeux.





Ces deux espèces présente déjà des indices de parthénogenèse en captivité comme d'autres vertébrés tels que les dragons de Komodo, une espèce de requin, les Boa constrictor... (être capable de se reproduire sans mâles). Or ces démonstrations n'était que ponctuelle et on doutait parfois que les femelles aient puent retenir du sperme depuis le dernier accouplement, même si ce dernier commençait à dater.

Ici les auteurs de l'article scientifique relaté par National Géo ont prélevés plusieurs femelles gravides dans la nature et on réalisé une étude génétique entre mère et petits. A cause du système sexuelle des squamates (ZW pour une femelle, ZZ pour un mâle), les petits issuent d'une repro parthénogénétique sont tous des mâles. Pour aller un peu plus loin, les bébé sont homozygotes pour tous les gènes en ayant pris un des allèles de la mère. de plus il ne s'agit pas du même type de parthénogenèse que les obligatoires décrite sur quelques autres espèces de reptiles.

Pour être sur d'eux, les scientifique ont calculer la probabilité qu'un mâle présentant les même allèles que la femelle l'ai fécondée et ai donné des petits 100 homozygote et on arrive a une probabilité de 8/10.000.000.000.000.000 pour A. contortrix et de 2,4/100.000.000 pour A. piscivorus dans les populations étudiées.

Ainsi la parthénogenèse pourrais être beuacoup plus courante qu'on le pense, et pourrais même avoir un rôle évolutif. En effet, le fait de pouvoir produire une porté de mâle lorsqu'il n'y en a pas à dispo pourrais être un moyen de faire vivre la population grâce à une reproduction classique qui favorise ensuite la diversité génétique de la population. Pour faire simple : On est entre femelle, ba on va faire des mâles pourris pour pouvoir échanger nos gènes entre nous les filles!

En effet le fait d'être homozygote pour tous ces gène augmente énormément le risque d'avoir une maladie récessive, des malformation, ou tous simplement des gène récessif létaux ce qui mettrais à mal l'hypothèse cité précédemment. Et bien les petits relâchés ensuite paraissaient en bonne santé, et mangeaient! De plus en captivité, les petits issue de porté parthénogénétique grandissent normalement (même si l'on a peu accès à des info comme le système immunitaire par exemple).

En espérant vous avoir intéressés, si vous avez des questions n'hésitez pas (lien vers l'article gratuit sur la page de Nationale Géo)

A+

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Merci pour le partage, c est super intéressant. Je savais cela sur le dragon de komodo. Mais pas sur d autres reptiles.

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